Qui sont les deux étalons d'élite les plus sous-cotés de France ?
Quelle est l'identité de ces deux étalons sous-cotés ?
Depuis quelques année, force est de constater que notre parc étalon français gagne en envergure. En plat, les réussites de Siyouni et Zarak font partie des leaders européens, et en obstacle, des sires comme Doctor Dino, Saint des Saints, No Risk At All ou Kapgarde voient leur production briller au plus haut niveau des deux côtés de la Manche et faire s’affoler les enchères autour des rings de ventes. De même, en ce qui concerne les étalons débutants, l’arrivée au Haras de Beaumont d’un cheval de la qualité d’Ace Impact, n’avait pas eu lieu depuis des décennies. Sans compter l’arrivée de chevaux de renom comme Mishriff, Persian King ou Hello Youmzain. Mais comme c'est le cas outre-Manche, la cote des étalons est très fluctuante, et un étalon peut rapidement se voir coller une étiquette, et ainsi être boudé par le marché, même si en piste sa production est performante.
Parmi la centaine de reproducteurs en France, deux étalons, un d’obstacle et un de plat étalons paraissent (à notre humble avis) très sous-cotés. Le terme de « sous-coté » est évidemment subjectif. Un étalon peut être sous-coté pour l’un et surcoté pour d’autres. Ici, nous parlons d’étalons à moins de 10 000 €, pères de plusieurs vainqueurs de Gr.1, mais qui sont dans l’ombre de certains de leurs homologues, habitués à faire les gros titres. A la lecture de ces critères, qui peuvent être ces étalons sous-cotés ?
Lossiemouth, la septième gagnante de Gr.1 de Great Pretender