Sunday Break sera disponible à la Barbottière en 2017
Sunday Break dans son paddock
Il est le père de vainqueurs de Gr.1 en obstacle et sur le plat à travers Orsippus et Never On Sunday, respectivement lauréats au plus haut niveau à Aintree et à Longchamp. Mais Sunday Break est aussi le père de Frankyfourfingers, gagnant l’an passé de l’Al Maktoum Challenge R2 (Gr.2) à Meydan. En 2016, l’étalon a sans aucun doute réalisé l’une de ses meilleures saisons sur le plan des résultats en donnant deux vainqueurs de Gr.3 : Cavale Dorée, lauréate du Prix du Calvados et Brownie, un double « Gr.3 winner » en Norvège sur 1400 et 1800m.
Sa production répond également présente en obstacles. En l’espace d’un mois, son fils Tom Mix, un représentant de Madame Georges Sandor et de Yannick Fouin a remporté deux bonnes courses à conditions : le Prix de Chablis à Enghien et le Prix Roger Soulange-Bodin à Auteuil il y a exactement dix jours. Il y a un an à la même période, Sunday Break était responsable de la bonne Carina Tu Sei élevée par la famille Magnien et lauréate du Prix d’Aix à Enghien et depuis à nouveau gagnante à l’âge de 4 ans.
Gagnant de Gr.2 et placé des très importants Belmont Stakes (Gr.1) aux Etats-Unis, Sunday Break est aussi le frère de Phalaenopsis et Kizuna soit les deux meilleurs poulains et pouliches de leur génération au Japon. La première avait remporté deux Gr.1 dont l’Oka Sho (1000 Guinées). Le second avait pris la 4ème du Prix de l’Arc de Triomphe derrière Trêve en 2013 après ses succès dans le Derby Japonais (Gr.1) et le Prix Niel (Gr.2).
Après une saison de monte 2016 tronquée dans la durée pour cause de blessure aujourd’hui entièrement résolue, Sunday Break restera à 2.800€ HT la saillie (poulain vivant) en 2017. Ses voisins de boxes au Haras de la Barbottière auront pour noms Nicaron, Monitor Closely et High Rock.