Un Nicot peut en cacher un autre
Patrick : le père
Le père Patrick a rejoint Lyon avec 3 chevaux dont l’un, Great Gorge, est rentré aux balances en vainqueur pour se placer à l’endroit prévu à cet effet. Sur le retour, les deux autres ont dû se contenter des miettes ou des restes. Le trajet Ile de Ré-Lyon n’est pas une mince affaire !. Je crois me souvenir que Patrick m’avait chuchoté faire 150.000 kms par an. Je veux bien le croire. Les concessionnaires automobiles n’ont plus qu’à lui faire les yeux doux.
Patrick Nicot
Isabelle et Arnaud, le gendre.
L’aînée des enfants, Isabelle, titulaire d’un permis d’entraîner et mère de famille à ses moments perdus a raflé le réclamer de l’avant-dernière avec Boy. C’était à Niort, un petit déplacement. Son boy-friend (et même plus), Arnaud Chaillé-Chaillé, lui aussi était de la partie puisqu’il s’est imposé avec Kiowas sur les balais.
Isabelle Nicot
Capucine, l’aînée des jumeaux.
Pour sa part, Capucine n’a pas eu beaucoup de trajet à faire ce dimanche puisqu’elle se déplaçait à Royan. Avec un seul cheval dans le van, elle fait carton plein. Le vainqueur, Loup Normand, top-weight d’une course à conditions, s’est imposé facilement avec Eddy Delbarba au poids de 61 k. "Cap", comme certains l’appellent, est installée pas très loin de chez son père, chez son grand-père, Georges qui a passé le cap des 90 ans.
Capucine Nicot
Guillaume, l’angevin
Guillaume a déserté la région Poitou-Charentes pour s’installer, dans un premier temps, sur Deauville et ses environs. Depuis quelques mois, il a fait marche arrière et a pris ses quartiers en Anjou, pas très loin d’Angers, au Louroux-Béconnais, un village "occupé" pendant un certain temps par la famille Barbarin (Léon et non Gilles). Il travaille ses chevaux sur le domaine du Chillon, appartenant à la famille Guimard (Ecurie des Sables : Ferdick et ses fils Fabrice et Christophe). Guillaume, donc, a lui aussi fait carton plein puisque son pensionnaire, Snow Spirit, s’est imposé d’une courte encolure dans un handicap à Niort. Pour lui aussi, le déplacement n’était qu’une routine.
Guillaume Nicot
Cinq victoires, c’était le tarif du jour, mais à quel prix (avec l’augmentation du gas-oil) pour le nombre de kilomètres parcourus toute l’année. Bravo donc aux anciens amateurs. Oh, pardon, gentlemen-riders et cavalières.
Au fait, qui gardait les chiens et la maison ce week-end, peut-être Monique….
Xavier Bougon