Les grands vainqueurs des Patterns Ă travers l'Europe
En France
Pères de vainqueurs : sans surprise, le vainqueur est Galileo.
Avec 6 succès, Galileo (dont 3 Gr.1) devance Dansili (5 vict.) et le surprenant Selkirk (5 vict. dont 2 Gr.1), l’un des seuls sires dénués du sang de Northern Dancer.
Avec 4 succès, quelques ex-aequo : Dalakhani, Montjeu (qui par ailleurs est le père du Derby-winner anglais, Pour Moi), Refuse To Bend (Sarafina et Wavering), Even Top (grâce à Cirrus des Aigles).
Telles sont les conclusions d’une saison 2011 en France.
Galileo
Dansili
Selkirk
Pères de Mères : le vainqueur est l’incontournable Darshaan.
A la lecture du classement des Pères de Mères, force est de constater que les vieux tontons sont encore présents même si pour être père de mères, il faut avoir de la bouteille avec en tête les inséparables du Prix du Jockey-Club 1984 : Darshaan (7 victoires avec 5 produits différents dont 2 pouliches par Refuse To Bend), Sadler’s Wells (6 vict. et 3 produits) et Rainbow Quest (3 vict. et 3 produits)
VOIR LES RESULTATS COMPLETS DES GROUPES EN FRANCE (1/2)
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Le plus âgé, l’ancien Aga Khan, Blushing Groom (né en 1974) est le père des 2 sœurs Kova, Goldi et Gali, l’une par Anabaa, l’autre par Galileo, qui ont totalisé 5 succès.
Les deux plus jeunes, Danehill (1986) (5 vict. avec 3 produits et non des moindres, Golden Lilac, Danedream, Sarah Lynx) et Septième Ciel (1987, fils de Maximova) (4 vict. grâce à l’unique Cirrus de Aigles).
L’un des étalons de l’année, Montjeu, figure dans le classement avec une fille de Kendargent (le sire de l’année pour les 2 ans français).
Telles sont les conclusions d’une saison 2011 en France.
Darshaan
Sadler's Wells
Rainbow Quest
Sur les Iles britanniques
Père de vainqueurs : sans surprise également avec l’armada de Coolmore.
Sadler’s Wells, par ses deux fils, Galileo et Montjeu, totalisent 25% des vainqueurs. Montjeu aura remporté 6 groupes 1 avec 6 rejetons différents dont le Derby (Pour Moi) et l’espoir 2012, Camelot (Racing Post Trophy) dont le grand-père maternel n’est autre que le retraité, Kingmambo. Quant à Galileo, il compte 10 victoires mais 4 appartiennent au phénomène, Frankel.
Loin derrière avec 3 victoires, figurent High Chaparral (avec sa recrue de l’hémisphère sud, So You Think) et l’étalon Juddmonte, Oasis Dream (et ses 3 enfants dont le 2 ans, Power, un élève de Ballydoyle).
Montjeu
Kingmambo
Pères de Mères : l’inamovible Danehill et le surprenant Linamix.
Six victoires pour Danehill dont les petits-enfants ont tous pour père, Galileo (un croisement hors de prix dorénavant). Ce même Galileo en tant que père de mères figure pour la 1ère fois au palmarès des groupes 1 avec la pouliche La Collina, une irlandaise de chez Kevin Prendergast.
VOIR LES RESULTATS COMPLETS DES GR.1 EN ANGLETERRE ET EN IRLANDE (1/2)
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Le protégé de Jean-Luc Lagardère, Linamix, figure au second rang avec 3 victoires, toutes acquises par Blue Bunting, (une Godolphin qui a valu une lourde mise à pied pour son pilote Frankie Dettori) fille de Dynaformer (l’un des étalons dont la saillie est la plus coûteuse aux USA). Tête de liste des vainqueurs de groupes en France, Darshaan est également présent dans le palmarès britannique grâce au croisement avec Montjeu qui a donné, Pour Moi.
Danehill
Linamix
En Allemagne et en Italie
La grande gagnante est sans conteste Danedream lauréate en Allemagne et en Italie avant de nous avoir enthousiasmer à Longchamp un premier dimanche d’octobre.
Danehill et Sadler’s Wells se sont encore montrés à leur avantage ainsi qu’Indian Ridge, grand-père maternel de Dancing Rain (gagnante des Oaks d’Epsom avant de s’adjuger le Prix de Diane allemand) et le miler Excelebration, vainqueur de la Poule d’Essai allemande avant d’avoir sien le Prix du Moulin de Longchamp en septembre.
Indian Ridge
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A l’année prochaine pour d’autres aventures…..
