La relève est dans le pré ... au Haras du #Biot
29/09/2022 - Focus Elevage
A 39 ans, Mickael Champignon a décidé de racheter le Haras du Biot, une structure d’élevage basée dans l’Orne non loin de Gacé. Ce haras qui s’étend sur une trentaine d’hectares a déjà accueilli une vingtaine de juments pour la période de reproduction. Idéalement situé, le Haras du Biot est à moins de 20 kilomètres de grandes stations d’étalons comme Montaigu ou le Petit Tellier. En parallèle des juments de clients extérieurs, Mickael possède ses propres juments, dont Bad News qui a mis au monde un fils d’Headman.
Le Haras du Biot et ses herbages depuis les airs
Après avoir travaillé dans plusieurs haras français comme le Mezeray ou le Logis, ainsi qu’irlandais à Kildaragh Stud de la famille Kavanagh, Mickael Champignon a décidé de voler de ses propres ailes en achetant le Haras du Biot. Situé dans l’Orne, non loin de Gacé, la structure accueille ses juments personnelles mais aussi celles de clients extérieurs. Le haras s’étend sur une trentaine d’hectares, et comprend un barn de 10 boxes, 5 grandes stalles pour les juments et 2 boxes de poulinage. Avec son positionnement géographique idéal, le Haras du Biot est situé à moins de 20 kilomètres de celui de Montaigu ou du Petit Tellier par exemple. A l’avenir, Mickael a pour projet de faire du haras une station de monte, en s’occupant d’un ou plusieurs étalons. Pour sa première année d’exercice Mickael a accueilli une vingtaine de juments pour la saison de monte et pour les poulinages. Sa première jument personnelle, Bad News (achetée via France Sire ndlr) lui a donné son premier poulain cette année.
Mickael Champignon et sa jument Bad News
Des prairies vallonnées et vertes toute l'année
Voici donc cette pouliche élevée par Mickael Champignon. C’est une fille d’Headman et de Bad News, une jument placée en plat issue de la souche des gagnants de Groupe en obstacle Le Costaud, Sametegal et Ainsi Fidèles.
