Chez Olivier Corbière, éleveur de Saonois (2/3) : l'histoire d'une bonne paysanne normande !
Une bonne paysanne normande!
Saônoise, issue de la bonne souche de Sarepta, est élevée au haras puis vendue à Jacques Bédel et exploitée en courses par un certain…Jean Pierre Gauvin! Dure à la tâche, en bonne paysanne normande, elle court jusqu'à 8 ans et empoche pas moins 145 000 € de gains. Olivier, qui a toujours eu de l'estime pour cette jument, décide de la racheter et lui offre une seconde carrière. Son 1e produit par Enrique (Sainte Baume - 25 courses pour 2 victoires et 8 places), l'a rejoint cette année dans les herbages pour devenir, elle aussi, poulinière. Son 2e produit n'est autre que Saônois...Aujourd'hui suitée d'une pouliche de Iron Mask et pleine de Turtle Bowl, Sâonoise n'est pas à vendre! "Ca serait une trahison", précise Olivier.
Dans le boxe de Saônoise, la mère de Saônois, Olivier raconte comment il s'est décidé à la mettre à Chichicastenango...